Depuis toujours, la masturbation masculine est un sujet délicat, souvent entouré de tabous, de silences gênés et de fausses croyances. Non, messieurs, vous ne deviendrez ni sourds, ni aveugles, ni stériles à force de vous caresser, de vous donner du plaisir en solo, ou de vous adonner à « l’auto-érotisme » comme l’on dit !. En revanche, ce que dit la science actuelle, c’est qu’une pratique régulière et saine pourrait bien vous faire du bien. Beaucoup de bien même !

 Voici pourquoi se masturber régulièrement, oui, même tous les jours, peut-être une excellente idée à explorer sans culpabiliser et…sans modération.

5 bonnes raisons de se faire plaisir

1. Un shoot d’endorphines 100 % naturel

Après l’orgasme, le corps libère des endorphines, ces fameuses hormones du bonheur. Résultat : une sensation de calme profond, de satisfaction et même de légèreté… comme un guerrier détendu après la bataille.

2. Le meilleur des anxiolytiques

Pas besoin de molécule chimique pour se relaxer : l’auto-stimulation aboutie c’est-à-dire avec orgasme intégré, est un anti-stress naturel. Elle détend les muscles, diminue l’anxiété, et aide à relâcher les tensions mentales. Enfin un anxiolytique naturel et sans ordonnance.

3. Bye bye stress, bonjour sommeil

Une journée écrasante ? Une insomnie qui vous guette ? Préparez vos mouchoirs pour un petit moment pour vous (au sens propre), et vous voilà prêt à sombrer dans les bras de Morphée avec le sourire. L’orgasme solitaire favorise un endormissement rapide et améliore la qualité du sommeil.

4. Connaissance de soi = puissance sexuelle

La masturbation permet de mieux se connaître : ce qui vous plaît, ce qui vous excite, ce qui vous fait grimper aux rideaux. De la paume de la main ou du bout des doigts, chacun sa méthode, à vous d’ajuster votre pratique idéale.  Résultat : une sexualité masculine plus riche, plus consciente, plus satisfaisante – en solo comme en couple, oui oui, vous pouvez expliquer à votre partenaire la bonne manière vous concernant.

5. Un boost pour le couple

Paradoxal ? Pas tant que ça. Se donner du plaisir soi-même peut apaiser les tensions sexuelles, compenser un écart de libido, et encourager chacun à exprimer ses désirs sans frustration. C’est même parfois un excellent outil de sexualité positive.

Et la science dans tout ça ?

Testostérone et masturbation : info ou intox ?

Beaucoup de mythes circulent : « Se masturber rends sourd ou impuissant, fait chuter la testostérone etc.». Eh bien non. Les recherches montrent que la masturbation fréquente n'a pas d’impact significatif sur le taux de testostérone à long terme.

Voici ce qu’en disent les spécialistes :

• Le niveau hormonal fluctue naturellement, avec un pic le matin.
• Une étude de 2021 a observé que l’éjaculation peut freiner une légère baisse temporaire de la testostérone libre, mais sans effet durable.
• L’abstinence de trois semaines ? Peut provoquer une légère hausse, mais ça ne dure pas.

En résumé : que vous pratiquiez la masturbation ou non, votre testostérone suit son propre rythme.

Et si ma libido baisse ?

Un manque de désir sexuel peut avoir plusieurs causes :

• Stress chronique
• Fatigue physique ou mentale
• Troubles émotionnels (anxiété, dépression)
• Carences nutritionnelles (zinc, magnésium, vitamine D)
• Blocages psychologiques
• Problèmes relationnels

Si votre libido masculine chute de façon durable, il est judicieux de faire un bilan hormonal avec un professionnel.

Prostate : 21 éjaculations par mois pour vivre vieux ?

Quand on aime, on ne compte pas ! Eh oui, on ne plaisante pas avec la santé de la prostate. Une étude de Harvard a démontré que les hommes qui éjaculaient au moins 21 fois par mois avaient un risque réduit de cancer de la prostate.

Pourquoi ?

• Cela permettrait de « rincer » régulièrement la prostate.
• D’évacuer les toxines et de prévenir l’inflammation.
• D’assurer une bonne circulation dans la zone pelvienne.

Bref, ce que vous preniez pour un moment de plaisir perso est aussi un geste de prévention masculine.

Orgasme = dodo facile

L’orgasme, qu’il soit partagé ou solitaire, déclenche la libération de sérotonine et d’ocytocine, deux hormones qui favorisent la détente et le sommeil réparateur.

C’est pour cela que vous vous endormez parfois plus vite après un petit plaisir solo que devant une série Netflix.

Solo mais pas égoïste : vers une meilleure confiance sexuelle

Se masturber aide à :

• Mieux connaître ses zones érogènes
• Explorer de nouvelles sensations
• Gagner en assurance dans ses rapports

Et comme une meilleure connaissance de soi favorise la communication sexuelle avec son/sa partenaire… c’est gagnant-gagnant.

Trop, c’est trop ? Quand consulter ?

Aucune règle fixe. Mais si :

• Vous vous masturbez de façon compulsive (plusieurs fois par jour, sans contrôle)
• Vous avez du mal à éprouver du plaisir sexuel avec un·e partenaire
• Vous ressentez une gêne, une culpabilité excessive ou des douleurs

Alors, mieux vaut en parler à un médecin sexologue ou un thérapeute spécialisé. Il ne s’agit pas d’interdire, mais de retrouver un rapport équilibré au plaisir.

Et surtout : évitez l’automédication hormonale (testostérone en ligne, suppléments douteux). Vous risqueriez de nuire à votre fertilité et à votre santé.

Comment bien se masturber ? (si tu n’as pas la méthode)

1. Créez un environnement confortable et sans interruption.
2. Prenez votre temps : ce n’est pas une compétition.
3. Explorez aussi d’autres zones (testicules, périnée…).
4. Alternez rythmes, pressions, techniques.
5. Utilisez un lubrifiant pour éviter l’irritation.
6. Écoutez votre corps : le plaisir se cultive.

Variez les plaisirs, testez les techniques de masturbation, découvrez ce qui vous fait vibrer. Le plaisir, c’est aussi une aventure.

Et le No Nut November, alors ?

Certains hommes choisissent de ne pas se masturber pendant un mois – pour des raisons de défi, de spiritualité ou de discipline personnelle. Pourquoi pas ?

Mais attention :

• La privation prolongée peut générer du stress ou des troubles sexuels.
• Aucune étude ne prouve que s’abstenir est meilleur pour la santé.

La vraie liberté, c’est de pouvoir choisir quand et comment on se fait du bien, sans pression extérieure.

Pour conclure : plaisir, liberté et bon sens

Se masturber, c’est :

• Naturel
• Bénéfique pour la santé masculine
• Bon pour le moral, le sommeil, la prostate et la confiance
• Un outil de bien-être et d’équilibre

Ne culpabilisez pas. Ne vous cachez pas. Faites-le à votre rythme, avec bienveillance, et toujours à l’écoute de vous-même.

Le petit lexique de la masturbation : du savant au rigolo !

Parce que le vocabulaire de la masturbation est aussi riche que varié, voici un petit tour d'horizon pour briller en société (ou juste pour rire) :

Les termes "officiels" et plus "sérieux" :

• Onanisme
• Plaisir solitaire
• Auto-érotisme
• Autophilie

Les expressions populaires et imagées (par pays) :

En France :

• Se branler (le classique !)
• La veuve poignet / Madame cinq doigts / Cinq contre un (pour quand on est seul !)
• Se dégorger le poireau
• Se graisser le salami
• Faire pleurer le petit Jésus
• Se polir le chinois / le jonc
• Faire cracher le python
• Se tirer sur la nouille / la tige / l'élastique
• Se battre les couilles en neige
• Emmener Popaul au cirque
• Moucher le cyclope
• S'astiquer le manche / le poireau / l'asperge
• Se faire reluire
• Se pignoler / pratiquer la pignouf
• Se séguer (Sud de la France)
• Se taper sur la colonne / une queue
• Zapper sur manuel
• Se tabasser la viande

Au Québec :

• Se crosser
• Se passer un poignet
• Se pogner le bat

Aux États-Unis :

• To wank (anglais britannique)
• To jack off / Jerk off
• To beat it / Beat off / Beat one's meat
• To choke the chicken
• To spank the monkey
• To milk the eel (traire l'anguille)
• To make the worm puke (faire vomir l'asticot)
• To bash the bishop
• To stroke off
• To polish one's knob
• To frig (vulgaire)

Ailleurs dans le monde :

• Slovénie : Étrangler le dindon
• Roumanie : Serrer la main au président

Et vous, connaissez vu d'autres manières de nommer la masturbation?

Comment vivez-vous votre sexualité en solo ?

Avez-vous remarqué des bienfaits ? Des difficultés ? Partagez votre expérience en commentaire, on est là pour échanger, sans tabou et avec bienveillance !

Auteur-JoyDuke

Perdre du Ventre Facilement après 50 ans : Comprendre les Causes

Avouons-le : ce petit bidon qui s'est discrètement installé autour de votre taille n'était pas sur votre liste de souhaits pour la cinquantaine ! Ce fameux "ventre à bière" - même si vous ne buvez qu'occasionnellement - semble avoir élu domicile chez vous sans demander votre avis. Rassurez-vous, il est tout à fait possible de perdre du ventre facilement, même après cet âge, et ce n'est pas une fatalité !

Si vous en avez assez de rentrer le ventre devant le miroir ou de chercher des chemises plus amples, cet article est fait pour vous. Oubliez les régimes drastiques et les séances de sport punitives qui vous font plus de mal que de bien. Ici, nous allons comprendre ensemble pourquoi votre corps a décidé de changer après 50 ans, et surtout comment retrouver une silhouette qui vous plaît, sans vous prendre la tête et en restant un homme épanoui.

Prêt à découvrir les vraies raisons de ce changement et les solutions efficaces pour y remédier et perdre du ventre facilement ? C'est parti !

Pourquoi ce bidon s'installe-t-il après 50 ans ? Le mystère enfin résolu !

L'andropause : quand nos hormones nous jouent des tours

Contrairement aux idées reçues, les hommes aussi connaissent des bouleversements hormonaux en vieillissant. L'andropause, ou plus scientifiquement le déficit androgénique lié à l'âge (DALA), provoque une diminution progressive de notre taux de testostérone. Cette hormone, qui nous a accompagnés pendant notre jeunesse, commence à décliner dès 30 ans, mais les effets deviennent plus visibles après 50 ans.

Cette baisse de testostérone a des conséquences directes sur notre silhouette. Elle favorise le stockage des graisses, particulièrement au niveau abdominal, et rend plus difficile le maintien de notre masse musculaire. En parallèle, notre métabolisme ralentit naturellement. Résultat ? Notre corps brûle moins de calories au repos, et si nous continuons à manger comme à 20 ans sans bouger davantage, l'équation est simple : surplus calorique = stockage graisseux, principalement autour du ventre et cela devient compliquer de perdre du ventre facilement !

La sarcopénie : quand nos muscles nous lâchent progressivement

Non, on ne parle pas ici d'un homme politique Français ou d'un micro-pénis, mais sachez qu'avec l'âge, nous subissons tous une perte de masse musculaire appelée sarcopénie. Ce phénomène naturel commence dès 30 ans, mais s'accélère après 50 ans. Concrètement, nous perdons environ 1 à 2% de notre masse musculaire chaque année.

Pourquoi est-ce problématique pour notre ventre ? Parce que nos muscles sont de véritables "fours à calories" ! Moins nous avons de muscles, moins notre corps brûle de calories, même au repos.

Cette diminution du métabolisme de base favorise l'accumulation des graisses si notre apport calorique reste identique. C'est un cercle vicieux : moins de muscles = moins de dépense énergétique = plus de stockage graisseux.

La graisse abdominale : un invité indésirable et dangereux

Contrairement aux femmes qui stockent plutôt sur les hanches et les cuisses, nous, les hommes, avons la particularité de concentrer nos réserves graisseuses au niveau du ventre. Et attention, il ne s'agit pas uniquement de la graisse sous-cutanée que l'on peut pincer. La plus problématique, c'est la graisse viscérale, celle qui s'accumule autour de nos organes internes.

Cette graisse viscérale n'est pas qu'un souci esthétique. Elle représente un véritable danger pour notre santé, étant directement liée à un risque accru de diabète de type 2, de maladies cardiovasculaires, d'hypertension, de certains cancers et d'apnée du sommeil. Perdre du ventre, c'est donc bien plus que retrouver sa silhouette de jeunesse : c'est investir dans sa santé et sa longévité !

Les facteurs cachés qui font gonfler votre bidon

Le stress et le sommeil : le duo infernal

Le stress chronique est l'ennemi numéro un de votre ventre plat. En situation de stress, votre corps libère du cortisol, l'hormone de l'alerte. Cette hormone augmente votre appétit et favorise le stockage des graisses viscérales.

Le piège ? Si vous avez déjà du ventre, votre corps produit encore plus de cortisol, créant un cercle vicieux difficile à briser.

Le sommeil, quant à lui, est votre allié secret souvent négligé. Un déficit chronique de sommeil perturbe vos hormones de faim et de satiété (ghréline et leptine) et favorise l'accumulation de graisse abdominale. Dormir 7 heures par nuit n'est pas du luxe, c'est une nécessité pour votre ligne !

L'alcool : pas que la bière qui pose problème !

L'alcool se transforme dans votre organisme en acétate, une source d'énergie que votre corps va brûler en priorité. Conséquence ? Les autres nutriments de votre repas (glucides, lipides) sont mis de côté et stockés principalement sous forme de graisse abdominale.

La modération est votre meilleure amie. Un verre quotidien de vin rouge ou même de whisky (avec parcimonie !) est moins impactant que les excès du week-end. Les bières, cocktails sucrés et apéritifs sont vos vrais ennemis si vous voulez retrouver un ventre plat.

La respiration : un détail qui compte

La façon dont vous respirez influence l'apparence de votre ventre ! Les hommes privilégient souvent une respiration abdominale qui sollicite le muscle transverse.

Si ce muscle se relâche, vos organes ont tendance à pousser vers l'avant, donnant cette impression de "ventre ferme mais proéminent". Une simple prise de conscience de votre respiration peut déjà faire la différence.

Alors, on fait quoi pour perdre ces poignées d'amour ?

L'assiette intelligente : mangez malin, pas moins !

Oubliez l'idée de vous affamer ! Il s'agit plutôt de revoir intelligemment vos habitudes alimentaires pour perdre votre evntre facilement.

Boostez vos protéines : Elles sont vos meilleures alliées. Les protéines stimulent votre métabolisme, favorisent la synthèse musculaire et augmentent la sensation de satiété. Visez au moins 1 gramme de protéines par kilogramme de poids corporel. Pour un homme de 80 kg, cela représente 80g au mini minimum de protéines quotidiennes idéalement on peut pousser jusqu'a 160gr. Où les trouver ? Viandes blanches (poulet, dinde), poissons gras (saumon, maquereau), œufs, légumineuses, ou compléments protéinés si nécessaire.

Réduisez les mauvais glucides : Diminuez les sucres raffinés, jus de fruits industriels, pain blanc, pâtes et riz classiques, on oublie un moment ! Préférez les glucides complexes riches en fibres comme l'avoine(oui oui c'est sans gluten pour les plus frileux), le quinoa, la patate douce, en limitant votre consommation à environ 50g par jour.

Faites le plein de fibres solubles : Légumes verts (les choux de Bruxelles sont excellents !), pommes, ananas, myrtilles fraîches... Ces fibres régulent votre transit, stabilisent votre glycémie et ont un impact positif sur le stockage des graisses.

Choisissez les bonnes graisses : Fuyez les graisses trans (plats industriels, pâtisseries industrielles). Adoptez l'huile de coco de qualité riche en TCM, les oméga-3 (poissons gras, compléments), et pourquoi pas le CLA (acide linoléique conjugué), un complément qui peut aider à réduire spécifiquement la graisse abdominale.

Réduisez vos portions progressivement : Plutôt que de vous imposer une restriction calorique drastique, diminuez progressivement vos portions de 10 à 15%. (En gros on se sert une assiète comme on le ferait d'habitude et on enlève concrêtement une à deux cuillères à soupe) Votre estomac s'adaptera naturellement sans frustration.

Et quand on a faim entre les repas?

Et bien vous vous souvenez des deux cuillères à soupe qu'on a enlevé de l'assiette? On mange ces petits reste, on se fait cuire un ou deux oeufs durs, quatre crevettes, on grignotte un morceau de concombre, une carrote etc. mais on ne va pas à la boulangerie se chercher un petit pain au chocolat même si on y va en footing ! On imagine : un truc pas gras, un petit bol d'avoine avec des myrtilles fraiches par exemple (j'ai dit fraîche pas en confiture) !

Se (re)mettre au sport : bouger plus, mieux, sans se blesser !

La musculation : votre arme secrète : Elle n'est pas réservée aux bodybuilders ! La musculation maintient votre masse musculaire, booste votre métabolisme, et votre corps continue de brûler des calories jusqu'à 72 heures après l'effort. Commencez avec le poids de votre corps (pompes, squats) ou des poids légers. L'important, c'est la régularité et ça on peut le faire le soir tranquillement pendant les pubs télé!

Le cardio : pour brûler efficacement : Course à pied, vélo, natation, marche rapide... Ces activités puisent directement dans vos réserves graisseuses. Intégrez-les plusieurs fois par semaine, à votre rythme, sans vous mettre la pression, avec madame ou avec son chien, allez on se bouge pour un ptit footing en alant chercher le pain (brun) ou en allant à la poste!

Le gainage : le secret du ventre plat : Cet exercice renforce votre muscle transverse, celui qui maintient vos viscères et donne cet aspect "ventre rentré". Quelques minutes trois fois par semaine suffisent pour des résultats visibles, il y a pleins de tuto sur YouTube!

Le jeûne : solution miracle ou piège à éviter ?

Attention au jeûne de 36 heures !

On entend beaucoup parler de ce "bio-hack" censé faire fondre les graisses et "réinitialiser" nos cellules. Soyons clairs : le jeûne de 36 heures, surtout sans habitude, peut être un véritable choc pour votre organisme.

Baisses d'énergie importantes, maux de tête, difficultés à maintenir vos activités quotidiennes... Ce n'est ni la voie la plus douce ni la plus sûre pour débuter, et cela peut même être dangereux sans accompagnement médical. Et puis franchement comme le dirait un ami après avoir lu un post long comme mon bras sur le jeune de 36H : "36H...je tiendrais jamais la distance !"

Le jeûne intermittent : une approche plus douce

En revanche, le jeûne intermittent est bien plus accessible. Il s'agit de concentrer vos repas sur une fenêtre réduite (par exemple, manger sur 8 heures et jeûner 16 heures, en sautant le petit-déjeuner ou le dîner). Cette méthode permet à votre corps de mieux gérer l'insuline, favorisant naturellement la perte de graisse. C'est plus facile à intégrer dans votre quotidien et donne de bons résultats sans souffrance.

Votre routine type : l'exemple du "Mec de 50 ans" qui réussit à éliminer son bidon

Le matin : démarrez du bon pied

Hydratation : Un grand verre d'eau, éventuellement avec du citron pressé

Petit-déjeuner équilibré : Pain complet + œufs + jambon maigre pour fibres et protéines

Mini-entraînement : 10 squats + 1 minute de gainage (simple et efficace !)

Activité bonus : 15 minutes de marche active

Le déjeuner : mangez intelligent

Le combo gagnant : Protéines maigres + légumes verts à volonté + portion modérée de féculents à index glycémique bas

Dessert malin : Un fruit de saison ou yaourt nature

Le soir : léger et réparateur

Mini-entraînement bis : 10 squats + gainage pendant les pubs télé !

Dîner léger : Soupe de légumes maison + protéines légères (poisson blanc)

Portion adaptée : Plus petite qu'à midi, et attendez 10 minutes avant de vous resservir

Le week-end : plaisir et mouvement

Activités plaisir : Vélo, randonnée, natation selon vos goûts

Apéro intelligent : Un verre maximum, puis eau gazeuse, accompagné de crudités ou de proteines plutôt que chips

Restaurant : Poisson ou viande maigre + légumes, sauce à part

Conclusion : retrouvez votre silhouette sans vous prendre la tête !

Perdre du ventre facilement après 50 ans n'est ni une mission impossible ni une question de volonté surhumaine. C'est avant tout une question de compréhension de votre corps et d'adaptation intelligente de vos habitudes.

Les clés du succès ? La régularité plutôt que l'intensité, la progressivité plutôt que la radicalité, et surtout, le plaisir plutôt que la souffrance. Votre corps a changé, c'est normal. Votre approche doit changer aussi, en douceur et avec bienveillance envers vous-même.

Y a pas de secret, on ne perd ni du ventre ni du poind sans un minimum d'effort alimentaire et un peu de sport, l'idée n'étant pas de s'épuiser mais de retravailler son corps, doucement, peu à peu mais, on l'a déjà dit ici : avec régularité !

Alors, prêt à dire adieu à ce bidon et à retrouver une silhouette qui vous plaît ? Votre ventre plat vous attend, il suffit de faire le premier pas... sans vous prendre la tête !

Avez vous besoin de quelques exercices de base à faire tranquillou dans votre salon, dites le nous, on se fera un plaisir de vous concocter un petit programme tout en douceur pour réhabituer votre corps au mouvement sans vous faire mal ni vous stresser !

On s'y met?

Sources :

https://www.chu-bordeaux.fr/modinclude/search/string/sarcopenie

https://sleepdoctor.fr/blog/gros-ventre-chez-homme

https://www.futura-sciences.com/sante/questions-reponses/hygiene-vie-hommes-grossissent-ils-ventre-7286

A lire :

- Surveillez votre ventre, Dr Boris Hansel, éd. Hachette Pratique.
- Ventre plat en un mois, Aude Véret, éd. Flammarion.
- Le régime Best of, Marie-Louise André, éd. Hachette Pratique.

Auteur-JoyDuke

Voiture de sport légendaire : la BMW 3.0 CSL

Icône des années 70.

La BMW CSL n'a pas seulement été le premier véhicule produit par la société BMW Motorsport GmbH, fondée en 1972, mais elle est aussi rapidement devenue une icône dans l'histoire du groupe BMW.

Une légende historique

La BMW E9 a été lancée en octobre 1968 en même temps que la 2800 CS, qui était basée sur le châssis du modèle 2000 C à quatre cylindres de 1965.

Avec ses 4,66 m de long, 1,67 m de large et 1,37 m de haut, c'était une voiture étonnamment grande pour l'époque.

Elle avait un design agressif d'une élégance inégalée, un toit rigide sans montant central, une calandre en « nez de requin », des phares de 4 litres typiques et était initialement équipée d'un moteur six cylindres surnommé « Big SiX ».

On doit à l'ingénieur Wilhelm Hofmeister, chef du service de développement de la carrosserie de BMW, la silhouette de la BMW E9, une ligne de coupés qui a débuté avec la 22800 CS en 1968 et qui a culminé trois ans plus tard avec la 3.0 CSL.

En 1971, lorsque la cylindrée a été portée à 3,0 litres, deux versions ont été proposées. La BMW 3.0 CS à carburateurs de 180 ch et la BMW 3.0 CSi à injection électronique Bosch de 215 ch.

En mai 1972, BMW fait son retour en compétition avec le lancement de la ‘petite voiture de sport’ de la marque, la BMW 3.0 CSL.

La CSL, acronyme de « Coupé Sport Leichtbau », est conçue pour la compétition et offre des performances de pointe.

Pour atteindre les 1 000 unités nécessaires à l'homologation, elle a été développée par Alpina et produite par BMW, qui a mis au point des portes et un capot en aluminium, l'absence de pare-chocs, des vitres en plexiglas, un équipement minimal et un moteur porté à sa puissance maximale pour une version plus légère.

À l'époque, elle était équipée d'une boîte de vitesses à cinq rapports avec un carter en magnésium, d'un moteur six cylindres en ligne à 12 soupapes injectées de 3 340 cm3 d'une puissance maximale de 360 ch et d'un poids de voiture de 1 092 kg.

Plusieurs versions ont été produites et la cylindrée du moteur a été portée à 3003 cm³. Cette mesure visait à faire passer la classe au-dessus de la catégorie 3L, ce qui permettait d'apporter des modifications plus importantes entre les voitures homologuées et les voitures de course.

Dans la CSL de série, le moteur a été porté à 3153 cm³ avant l'homologation finale.

L'aileron, le spoiler et l'aile large qui ont valu à la Batmobile son surnom n'ont pas été montés sur la voiture de série (ils ont été inclus) et seules les 167 dernières voitures produites étaient éligibles. Tout le reste ressemblait à une « simple » 3.0 CS).

Lors de la création de BMW Motorsport GmbH en 1972, le segment de la compétition est entré dans un âge d'or grâce à ce modèle.

Dès son lancement, elle est équipée de jantes en alliage léger, d'une suspension améliorée avec roues indépendantes et freins à tambour assemblés chez Karmann, de vitres latérales en plexiglas et d'un toit en fibre de verre.

Animée par un moteur de 215 ch, cette version sportive a brillé sur les circuits et est devenue une véritable légende et l'un des modèles les plus emblématiques de la marque.

En 1974, la voiture a été légèrement améliorée avec un moteur à injection puis en 1975, une version « économique », la 2.5 CS, a été introduite pour le marché européen, mais elle n'a pas eu le succès escompté.

En 1976, le moteur 3.2 l biturbo de 750 ch sera installé, et ce qu’on retient, c’est qu’à la fin de sa carrière, la version coupée turbocompressée avait atteint une puissance maximale de 800 ch.

On doit à cette CSL mythique, fabriquée alors sans le fameux M, les trois bandes symbolisant encore aujourd’hui la Marque M.

La ‘Batmobile’ de 1973

Cette série très rare n'a été produite qu'à 110 exemplaires, car elle était équipée d'un kit aérodynamique comprenant un certain nombre de spoilers destinés à améliorer le flux aérodynamique.

Les spoilers étaient vendus avec la voiture mais n'étaient pas autorisés sur les routes publiques dans certains pays.

Le moteur a été porté à 3 153 cm3 (à injection) et la voiture était l'une des plus rares de la série, avec des caractéristiques innovantes telles que les portes et le capot en aluminium, qui n'avaient jamais été vus auparavant.

BMW 3.0 CSL : un palmarès éblouissant

En 1973, CSL remporte sa première victoire au Grand Prix du Nürburgring, en gagnant la légendaire course de six heures avec Hans-Joachim Stück et Chris Amon au volant, en effectuant 42 tours.

Dans le championnat européen des voitures de tourisme, l'équipe a remporté six victoires avec Niki Lauda et Hans-Joachim Stück, et a dominé le championnat de 1973 à 1979.

En 1973 et 1974, la BMW 3.0 CSL, surnommée dès 1973 la « Batmobile », a remporté deux fois les 24 heures du Mans dans la même catégorie, respectivement avec l'équipe Toine Hezemann/Dieter Kuester et Jean-Claude Aubrier/« Depnick » au volant.

De 1975 à 1979, elle entre dans ‘l'Olympe’ des voitures de course la plus illustre et l’une des plus importante de l'histoire, avec des pilotes aussi célèbres que Henri Pescarolo, Niki Lauda, Jacky Ickx ou encore pour la France, Jean-Pierre Beltoise, qui lui, a remporté en 1976, le premier championnat de France des voitures de production.

Un succès plus qu’évident avec en plus de ce qu’on vient de lire :

• Quatre victoires aux 24 Heures de Spa
• Une aux 24 Heures de Daytona
• Une aux 12 Heures de Sebring,
• Trois victoires de catégorie au total au Mans

En 2020 : une BMW 3.0 CSL de 1972 vendue aux enchères

En 2020, une superbe BMW 3.0 CSL a été proposée sur le site de vente aux enchères en ligne Bring a Trailer.

Il s'agit de l'une des 169 voitures construites au cours des 14 mois de la première série.

La BMW 3.0 CSL a d'ailleurs été développée par le département Compétition de BMW comme modèle d'homologation pour participer aux compétitions européennes de voitures de tourisme.

Chaque voiture plus ou moins spéciale vendue aux enchères a une petite histoire. L'histoire de cette BMW 3.0 CSL a commencé le 25 février 1972 lorsqu'elle a quitté l'usine. La voiture a été livrée neuve en Italie en juillet 1972, puis importée aux États-Unis dans les années 1970. Elle a ensuite été acquise par un collectionneur vivant au Colorado en 1986. Ce collectionneur a reconstruit la voiture au milieu des années 1990.

Elle a été repeinte en noir (selon le site de vente aux enchères, la livrée d'origine était jaune « Golf ») et un nouveau moteur six cylindres en ligne M30 de 3,5 litres avec deux carburateurs Weber a remplacé le moteur d'origine de 3,0 litres. La remise à neuf a été effectuée sous la supervision de Paul Schulz à Denver, avec des pièces et des conseils fournis par les spécialistes de Marc, Carl Nelson et Richard Conway. Des bandes latérales tricolores ont également été ajoutées pour compléter l'ensemble.

La voiture est restée dans la même famille jusqu'en 2014, date à laquelle un collectionneur de San Francisco l'a acquise. Lui aussi a apporté un certain nombre de modifications, dont le montage d'une boîte de vitesses manuelle à cinq rapports fournie par Getrag.

La voiture a trouvé preneur pour la modique somme de 175 000 USD (environ 149 000 EUR). A noter que le moteur six cylindres de 3,0 litres d'origine a été offert avec la voiture au moment de la vente et qu'il peut être remonté si on le souhaite.

BMW et les "ART Cars" :

En 1975, personne n'aurait imaginé que la voiture de course BMW 3.0 CSL dessinée par le sculpteur américain Alexander Calder serait le véritable point de départ des BMW Art Cars.

Les BMW Art Cars constituent une collection unique et variée créée en collaboration avec des artistes de renommée internationale depuis 1975. BMW Art Car est une collection unique et variée qui a été créée en collaboration avec des artistes de renommée internationale depuis 1975 et qui compte aujourd'hui 20 véhicules.

Hervé Poulin a conduit la BMW 3.0 CSL/Calder n° 93 aux 24 heures du Mans 1975 avec Sam Posey et Jean Guiché, et l'impact du mobile coloré de Calder sur le public a été extraordinaire.

Un an plus tard, Frank Stella, compatriote de Calder, lui emboîte le pas. Il choisit lui aussi une BMW 3.0 CSL et l'inscrit à la course d'endurance du Mans sous le numéro 21. Pour Stella, fan de sport automobile, la conception de la BMW Art Car n° 2 a été un honneur particulier. Sa conception de l'œuvre d'art automobile a mis en évidence la base technique de l'objet original. Le résultat est une grille de lignes qui ressemble à une feuille de papier millimétré surdimensionnée. Le bolide noir et blanc, avec son énorme puissance de 750 chevaux, se distinguait des nombreux concurrents (pour la plupart colorés) sur la grille de départ.

Comme pour la voiture de Calder, la peinture a été réalisée par le légendaire maître-peintre de BMW, Walter Maurer.

La nouvelle CSL :

La Nouvelle BMW 3.0 CSL est propulsée par le moteur à essence six cylindres en ligne le plus puissant de l'histoire des voitures routières BMW M. Ce concept de moteur a évolué remarquablement bien avec M Power à travers divers modèles ultérieurs, tels que la BMW M1 de 204 kW (277 ch) de 1978 et la BMW M3 de cinquième génération de 2014 avec 317 kW (431 ch) et la technologie M TwinPower Turbo.

La nouvelle BMW 3.0 CSL est la première BMW M3 à être équipée de la technologie M Power et le moteur à haut régime de cette BMW délivre une puissance maximale de 412 kW (560 ch) et un couple maximal de 550 Nm.

L'actualité de la CSL 3.0 :

En novembre 2022, BMW a lancé son véhicule à moteur six cylindres le plus puissant, la 3.0 CSL. Luxury Cars Hamburg a mis en vente l'une des 50 unités au prix de 1 249 000 euros.

Chacune des 50 voitures est équipée d'une boîte de vitesses manuelle à six rapports et d'un moteur six cylindres de 3,0 litres amélioré développant une puissance de 560 ch et un couple de 548 Nm.

Les 50 voitures ont été assemblées dans la même configuration et ont reçu une finition extérieure en blanc alpin, avec une livrée M spéciale en hommage à la 3.0 CSL originale de 1970.

Les passages de roue sont nettement plus larges que ceux de la M4 de série sur laquelle la nouvelle 3.0 CSL est basée, et BMW a eu recours à des méthodes de production spéciales, notamment des procédés de soudage et de moulage uniques, pour assembler ce modèle en édition limitée. La finition extérieure a été réalisée par un poste de travail dédié dans l'atelier de peinture de Dingolfing. L'assemblage final a eu lieu dans un atelier artisanal spécialement construit pour ce modèle sur le site externe de BMW à Moosfenning.

L'un des modèles a roulé sur le circuit Paul Ricard et dans la région de Provence lors du Tour Haute et également au Mans à l'occasion de l'édition 2012 du Mans Classic.

Ce que l'on retient de cette voiture de sport légendaire :

Le premier prototype de la CSL a été développé par Alpina et produit par BMW.

Il a permis à la division sport automobile de se faire un nom en compétition.

On doit à cette BMW, la première BMW avec la bande M tricolore.

La CSL est la première et la deuxième « Art Cars » de la série BMW (la première signée par Alexander Calder et la seconde par Frank Stella).

Source principale : BMW

Auteur-JoyDuke

 Le sexe après 40 ans est souvent sujet à de nombreuses interrogations dans le couple. Changements physiques, baisse de libido ou simple routine peuvent parfois sembler s'installer. Pourtant, cette période de la vie est aussi une formidable opportunité de raviver la flamme et de s'épanouir pleinement dans l'intimité.

Découvrez comment aborder ces changements et vivre une sexualité riche et satisfaisante.

Comment cela se passe le sexe après 40 ans ?

Ah, la quarantaine et ses interrogations ! On se regarde dans le miroir et on se demande qui est ce type aux cheveux poivres et sels, aux poches sous les yeux et aux rides d’expression.

Pourtant, ces marques de l’âge peuvent être charmantes, voire sexy. Les rides sont le reflet de l’expérience. La séduction repose moins sur les abdos que sur la confiance et la maturité, des qualités souvent jugées irrésistibles. Qui a besoin d'un corps de mannequin quand on a un bon bagage intellectuel et des histoires à raconter ?

Avec l’âge, notre perception évolue. Ce qui compte, c’est ce que l’on dégage. À ton âge, tu sais tenir une conversation intéressante, faire rire, et réconforter. Ces atouts sont bien plus séduisants qu'un six-pack.

Oublie les complexes et profite de la vie : à 40 ans, tu es au début de quelque chose de formidable. En vieillissant, on comprend que les meilleurs vins se dégustent lentement et que les meilleures histoires se racontent à voix basse. Les cheveux blancs ajoutent une touche de sagesse, parfaite pour impressionner et montrer sa maturité.

Prêt à prouver que l'âge n'est qu'un chiffre ? Et oui, le sexe après 40 ans est comme la passion qui n'a pas de date de péremption, et la sexualité, comme un bon plat, se travaille et s'affine avec le temps.  

Plus de Plaisir, Moins de Pression

Alors qu'on était obsédé par la performance à 20 ans, aujourd'hui, à 40 ans, beaucoup préfèrent la qualité. Le sexe devient plus qu'un sprint : c'est un marathon où l'on savoure chaque instant. Les hommes commencent à apprécier l’intimité, les préliminaires, et même à exprimer leurs désirs. La pression de devoir « assurer » s’évapore, laissant place à une exploration plus profonde de la connexion émotionnelle et du plaisir partagé.

Pourquoi se presser quand on peut prendre le temps d'explorer les petites nuances et de découvrir de nouveaux plaisirs ? Les soirées entre amis incluent désormais des discussions sérieuses sur la camomille et la petite pilule bleue. Mais qu’en est-il de la sexualité ? Passé 40 ans, est-on condamné aux siestes dominicales ?

Pas du tout ! Cette période peut marquer le début d’une aventure palpitante.

Que se passe-t-il exactement dans notre corps ?

Les années passent et notre corps évolue : un petit ventre, quelques cheveux en moins, c'est normal, surtout si l'on ne fait pas de sport après des repas copieux. L'important n'est pas d'avoir un corps de mannequin, mais de savoir s'en servir avec plaisir. Un peu de vécu a aussi son charme !

Parlons des changements hormonaux, notamment le déclin de la testostérone, qui peut ressembler à une panne d'essence en plein road trip. Rassure-toi, cela n’arrive pas systématiquement, et il existe des solutions pour recharger les batteries. Si tu es inquiet, n’hésite pas à en parler à ton médecin.

Après 40 ans, le corps masculin subit des changements naturels qui peuvent influencer la sexualité. Voici quelques phénomènes courants :

• Baisse de la testostérone : Sa production diminue progressivement avec l'âge, entraînant des symptômes tels qu'une réduction de la masse musculaire.
• Modifications vasculaires : Les vaisseaux sanguins, notamment ceux du pénis, deviennent moins élastiques, affectant la qualité et la durée des érections.
• Facteurs psychologiques : Le stress, l'anxiété et les problèmes relationnels peuvent également influencer la libido et les performances sexuelles.

Les conséquences sur la sexualité

• Diminution de la libido : Le désir sexuel peut être moins intense ou moins fréquent.
• Troubles de l'érection : Il peut devenir plus difficile d'obtenir ou de maintenir une érection.
• Éjaculation précoce ou retardée : Le temps de réponse et la durée de l'éjaculation peuvent varier.
• Modifications des sensations : Les sensations pendant les rapports peuvent changer.

Ces changements peuvent susciter des inquiétudes, mais ils ne signifient pas la fin de ta vie sexuelle. Au contraire, c'est l'occasion de redécouvrir le plaisir sous un nouvel angle. Retenons deux points essentiels :

• Le plaisir évolue : Les plaisirs ne sont pas seulement physiques. Le toucher, les caresses et l'intimité émotionnelle prennent souvent plus d'importance.
• La communication est clé : Pour explorer tes fantasmes avec ta partenaire, la communication dans un climat de confiance est essentielle. Parle ouvertement de tes désirs, de tes craintes et de tes attentes avec bienveillance. Cela peut renforcer votre relation et maintenir une vie sexuelle épanouie.

En résumé, après 40 ans, le corps masculin est un peu comme une bonne vieille voiture : il a du vécu et quelques bruits suspects, mais avec un bon entretien, il peut encore faire des merveilles sur la route !

Alors, quels sont les petits réglages à faire ?

• L'huile essentielle : Oui, je parle bien de sport ! Quelques séances de cardio et un peu de muscu pour rester en forme et gagner en confiance.
• Le changement de pneus : Remplace les mauvaises habitudes alimentaires par des fruits, des légumes et une alimentation équilibrée pour booster ton énergie et ta libido.
• La vidange : Assure-toi de bien dormir, de réduire le stress et de te faire plaisir. Un bon bain chaud, un massage ou un bon livre, tout est permis !
• La révision : Un check-up annuel chez le médecin est une excellente idée pour vérifier que tout fonctionne correctement.

Renforcer l'Intimité : Communiquer, c’est gagner !

Passé 40 ans, il est temps de parler franchement ! Oublie les sous-entendus et ouvre le dialogue. Une bonne communication est comme une recette : elle nécessite les bons ingrédients. Instaurer des moments de discussion avec ta partenaire peut sembler intimidant, mais c’est l'occasion idéale de renforcer votre complicité.

Maintenir l’intimité dans une relation longue peut être un défi, surtout lorsque la routine s'installe. Il est essentiel d'être créatif pour raviver la flamme. Quelques gestes simples suffisent souvent : prendre le temps de se retrouver sans distractions, organiser des soirées en tête-à-tête ou s'engager dans des activités qui renforcent le lien, comme le sport ou des hobbies partagés.

Mais ce n'est pas tout… Alors que peut on faire pour améliorer le sexe après 40 ans?

Améliorer le Sexe après 40 ans : De l’Idée à l’Action

Pourquoi ne pas planifier des « rendez-vous surprises » ou organiser une « soirée des envies » autour d’un bon repas, où chacun peut exprimer ses désirs ? Tu pourrais être surpris par ce que ton partenaire a en tête !

Utilise ton imagination et rappelle-toi des débuts de votre relation. Que ce soit une soirée romantique à la maison, une sortie impromptue ou un petit voyage dans un endroit lié à vos premiers rendez-vous, ces moments de partage renforcent le lien et ajoutent une touche d’aventure au quotidien.

N’oublions pas le pouvoir des gestes affectueux. Câlins, baisers et caresses créent un climat de confiance propice à l’exploration de votre intimité. N'hésite pas à exprimer ton affection de manière ludique, surtout quand ton partenaire est réceptif (comme après un fou rire).

Pourquoi ne pas instaurer une « journée des câlins » ou une compétition amicale de massage ? Et pour éviter que les discussions deviennent trop sérieuses, ajoute une pincée d’humour. Parler de fantasmes peut rapidement se transformer en fou rire, et c’est là que la magie opère !

Oublie les complexes et mets en place une stratégie pour retrouver la flamme de vos débuts. Après tout, la vie est trop courte pour se prendre au sérieux. Avec l'âge, on apprend à mieux se connaître et à prendre du plaisir sans pression.

Alors, mets de côté les jeux vidéo et les soirées télé. Inscris-toi à un cours de danse, fais du sport et prends soin de toi. Une bonne condition physique booste la confiance en soi et fait des merveilles au lit !

Et les fantasmes dans tout cela ?

Ah, les fantasmes masculins ! Un sujet vaste, profond et aussi varié que les goûts en matière de glaces. Chaque homme a ses propres envies et rêves les plus fous. N'hésite pas à en parler avec tes amis, tu verras que tu n’es pas le seul à fantasmer !

Mais qu'est-ce qu'un fantasme ? Selon le Larousse, c'est une représentation imaginaire traduisant des désirs plus ou moins conscients. Souvent tabous, les fantasmes sexuels sont rarement évoqués sans complexe ou culpabilité. Note que tous les fantasmes ne sont pas sexuels : gagner au loto ou rêver de posséder une Ferrari 250 GTO de 1962, c'est aussi un fantasme !

De la paraphilie aux troubles paraphiliques

Beaucoup de fantasmes ne posent pas de problème tant qu'ils restent dans l'imaginaire. En revanche, certains fantasmes sont immoraux, illégaux et punis par la loi, comme la pédophilie, l’exhibitionnisme, le voyeurisme, le frotteurisme, la nécrophilie ou la bestialité. Ces comportements sont classifiés par l’OMS comme des maladies mentales.

Mais pourquoi a-t-on des fantasmes sexuels ?

Les fantasmes sont une part essentielle de notre sexualité, offrant une échappatoire, du plaisir et une stimulation de l’imagination. Ils peuvent refléter des désirs refoulés, des expériences passées ou des aspirations personnelles. En gros, ils permettent de :

• Réduire le stress : Se plonger dans ses fantasmes est un excellent moyen de se détendre.
• Augmenter le plaisir : Intégrer des éléments de ses fantasmes dans sa vie sexuelle peut rendre les rapports plus excitants.
• Mieux se connaître : Les fantasmes révèlent nos désirs les plus profonds.

C'est peut-être l'occasion d'ouvrir de nouvelles portes et de vivre des expériences inoubliables. Rappelons que les fantasmes sont personnels et ne doivent pas être jugés. Il est essentiel de distinguer les fantasmes de la réalité : ils représentent une évasion, un jeu de l'esprit, sans nuire à ta relation ou à ton bien-être.

On ne va pas tous les énumérer ici, mais voici quelques thèmes récurrents dans l'univers des fantasmes masculins. En réalité, il existe au moins autant de fantasmes que de grains de sable sur les plages !

Les classiques intemporels

• La conquête : Séduire une femme inaccessible, une inconnue ou une célébrité. Le défi de la séduction est un puissant moteur.
• La rencontre fortuite : Tomber par hasard sur une belle inconnue dans un endroit inattendu, un peu comme dans les films !
• L'infidélité : Une transgression, un frisson interdit (souviens-toi, il s’agit de fantasme, pas d’acte !).
• Le changement de rôle : Se glisser dans la peau d'un personnage, être un héros ou un sauveur, pour explorer d'autres facettes de soi.
• Le groupe : Multiplier les partenaires, vivre des expériences à plusieurs, comme participer à une orgie ou avoir une relation à trois. Ce fantasme peut resurgir à tout âge.

Les fantasmes plus originaux

• Liés au pouvoir : Être un super-héros, un chef influent ou un séducteur invétéré.
• Liés à l'interdit : Profiter d'une relation avec une personne inaccessible, comme la femme d’un ami ou une célébrité.
• Rôles inversés : Être soigné, choyé…
• Liés à la nature : Faire l'amour en plein air, en harmonie avec la nature.

Les fantasmes plus spécifiques

Des fantasmes comme le voyeurisme, l’exhibitionnisme, le frotteurisme et le masochisme sont relativement fréquents, tout comme :

• La domination : Être maître de la situation, prendre les rênes, un fantasme qui fait vibrer de nombreux hommes.
• La soumission : Certains hommes fantasment sur l'idée d'être dominés.
• Le tabou : Explorer des pratiques sexuelles considérées comme interdites peut être très excitant.
• Le fétichisme : Les pieds, les cheveux, les vêtements... Les fétiches sont personnels et varient d'un homme à l'autre.

En résumé :

• Les changements liés à l'âge sont normaux et ne signifient pas la fin de la vie sexuelle.
• En prenant soin de votre santé physique et mentale, en communiquant avec votre partenaire et en adoptant une attitude positive, vous pouvez continuer à profiter pleinement de votre sexualité.
• La sexualité après 40 ans est une phase d'évolution à explorer sans tabou.

En abordant les changements physiques et psychologiques, en favorisant la communication et en brisant les mythes, vous pouvez vivre une sexualité épanouie. L’essentiel est de rester ouvert aux évolutions et d’investir dans la relation, car plaisir et intimité peuvent perdurer et même se renforcer avec l'âge.

Et toi, as-tu des fantasmes, les as-tu réalisé ?

Cet article a pour but d'informer et de divertir. Il ne remplace en aucun cas un avis médical. Pour toute question concernant la sexualité, n'hésitez pas à consulter un professionnel de santé. (Sources : OMS, Hal open science, Alain Giami, Maison des Sciences Humaines, Inserm, Psychologue.net, Université de Genève)

On a tous déjà ressenti cette boule au ventre, cette sensation de pression qui nous pousse à bout. Le stress, c'est un peu comme un invité surprise qui débarque sans prévenir et vient bouleverser notre quotidien. Mais pas de panique, on va démystifier tout ça ensemble et trouver des solutions pour mieux le gérer !

Le stress, c'est quoi au juste ?

Imagine ton corps comme une voiture. Quand tu appuies sur l'accélérateur, le moteur ronronne et te propulse vers l'avant. C'est un peu comme le stress : il te donne un coup de boost pour faire face à une situation difficile. Mais si tu appuies trop fort ou trop longtemps, le moteur surchauffe et risque de tomber en panne. C'est pareil pour notre corps et notre esprit.

Pourquoi est-ce qu'on stresse ?

Les raisons de stress sont aussi nombreuses que variées : un examen à préparer, un déménagement, des problèmes relationnels, des soucis financiers... Bref, la vie de tous les jours est remplie de petits et grands stress qui peuvent nous mettre à mal.

Quand le corps crie SOS : les symptômes du stress !

Tu te sens fatigué(e) en permanence ? Tu as du mal à te concentrer ? Tu as des troubles du sommeil ? Ces symptômes peuvent être le signe d'un stress trop important, en cas de doute, bien évidement n’hésite pas à consulter un professionnel. Mais pas de panique, si ce que tu ressens est bien du stress, il existe des solutions pour te sentir mieux.

Comment lutter contre le stress ?

• Respire un grand coup : les exercices de respiration sont de véritables alliés contre le stress. Ils permettent de calmer le système nerveux et de retrouver un état de détente.
• Bouge ton corps : le sport, c'est la clé pour évacuer le stress et les tensions. Que ce soit la course à pied, pousser de la fonte, faire du foot avec tes potes ou du vélo, trouve une activité qui te plaît et pratique-la régulièrement.
• Détend ton esprit : la méditation, la relaxation, la lecture... Il existe de nombreuses techniques pour apaiser ton esprit et te recentrer sur l'essentiel.
• Parle-en : n'hésite pas à en parler à tes proches, à un professionnel de santé ou à un thérapeute. Parfois, exprimer ce que l'on ressent est déjà un grand soulagement.
• Prends soin de toi : accorde-toi des moments de plaisir, mange sainement, dors suffisamment... Prendre soin de son corps, c'est aussi prendre soin de son esprit.

Et non, le stress, ce n'est pas une fatalité !

Inquiètude, pleurs, manque de sommeil etc. En apprenant à reconnaître les signes du stress et en mettant en place des stratégies pour le gérer, tu peux améliorer considérablement ta qualité de vie. Alors, n'hésite pas à tester différentes techniques pour trouver celles qui te conviennent le mieux.

On sait que le stress a un impact significatif sur notre santé physique, et il est important de comprendre comment il agit sur notre corps pour mieux le gérer car oui, le stress a des effets sur la santé physique et peut entraîner une multitude de problèmes de santé, notamment :

• Troubles du sommeil : insomnies, réveils nocturnes fréquents, difficultés à s'endormir.
• Problèmes digestifs : troubles intestinaux (syndrome du côlon irritable), brûlures d'estomac, ulcères.
• Maux de tête et migraines : les tensions musculaires liées au stress peuvent provoquer des maux de tête.
• Problèmes cardiovasculaires : hypertension artérielle, maladies cardiaques.
• Affaiblissement du système immunitaire : augmentation de la susceptibilité aux infections.
• Problèmes de peau : eczéma, psoriasis par exemple.
• Troubles musculo-squelettiques : douleurs chroniques, tensions musculaires.

Pour gérer son stress, il convient avant tout de procéder comme un enquêteur :

• Identifie les sources de ton stress, prends le temps de réfléchir à ce qui te stresse au quotidien et fait une liste.
• Établi des priorités, pour distinguer ce qui est important de ce qui ne l'est pas.
• Organise ton temps ; sais-tu qu’un emploi du temps bien structuré peut réduire le sentiment d'être dépassé et permet à terme, d’éviter le burn out.  Il existe toute une panoplie d’outils gratuits pour aider à planifier ton temps.
• Pratique une activité physique régulière ; on ne le dira jamais assez, mais le sport est un excellent moyen de réduire le stress et d'améliorer la santé physique.
• Essaye d'avoir une alimentation équilibrée car plus ton alimentation est saine, plus elle fournit à ton corps l'énergie dont il a besoin pour fonctionner correctement.
• Entretiens tes relations sociales en passant du temps avec des personnes positives, cela peut t’aider à te sentir mieux.

Allons encore plus loin dans la gestion du stress avec ci-dessous, quelques pistes pour une alimentation antistress :

Les micronutriments et le stress : certains nutriments, comme les vitamines du groupe B, le magnésium et le zinc, jouent un rôle important dans la régulation du stress. Je peux t’en dire plus sur leurs bienfaits et les aliments qui en sont riches dans un prochain article n’hésite pas à me le faire savoir si c’est un sujet que tu souhaites qu’on développe !

Les liens entre l'intestin et le cerveau : on en parle de plus en plus du microbiote intestinal, souvent appelé "deuxième cerveau" et on sait qu’il influence notre humeur et notre niveau de stress. N’hésite pas à consulter un nutritionniste qui pourra te guider sur ce qui est bon pour toi.

Ensuite pour la pratique, quelques exemples simples de techniques de relaxation faciles à mettre en place au quotidien qui peuvent aider à réduire le stress et à améliorer le bien-être physique et mental.

• La respiration profonde : inspire lentement par le nez, retient ton souffle pendant quelques secondes, puis expire lentement par la bouche.
• La méditation de pleine conscience : cette pratique consiste à porter son attention sur le moment présent, sans jugement. Il existe de nombreuses applications et vidéos guidées pour débuter et il existe même une super série sur le sujet à regarder 10mn chaque soir avant d’aller te coucher : « Le guide Headspace de la méditation », perso, je me suis endormis sur le canapé plus d’une fois et totalement déstressé !
• Le yoga : non, non, ce n’est pas que pour les filles, beaucoup d’hommes s’y sont mis car le yoga combine des postures physiques, des exercices de respiration et de la méditation. C'est une excellente façon de se détendre et de renforcer son corps.
• La relaxation musculaire progressive : tends et détends progressivement les différents groupes musculaires de ton corps, en commençant par les pieds et en remontant jusqu'au sommet de la tête.
• La marche en pleine nature : une simple promenade en forêt ou dans un parc peut aider à réduire le stress et à améliorer l'humeur.

Pour ceux qui aiment lire :

• "Les Moins Stressés Gagnent" de Christophe André
• "Respire" de James Nestor

Sinon, pour t'aider voici quelques applications mobiles :

• Petit Bambou: Une application très populaire qui propose des séances de méditation guidée pour tous les niveaux.
• Headspace: Une autre application de méditation (de la fameuse série dont je parle plus haut) et qui offre des programmes personnalisés pour réduire le stress et améliorer le sommeil.
• Calm: Une application complète qui propose de la méditation, des histoires pour s'endormir, des musiques relaxantes et des exercices de respiration.

Mais n'oublie pas que chacun est différent et ce qui fonctionne pour une personne peut ne pas fonctionner pour une autre. Il est important d'essayer différentes techniques pour trouver celles qui te conviendront le mieux. Les suggestions dans cet article ne se substituent en aucun cas l'avis de professionnels de la stanté, n'hésite pas à consulter ton médecin avant de mettre en place une de ces pratique.

Sources France :

INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale) : l'INSERM mène de nombreuses recherches sur la santé mentale, notamment sur le stress. Leur base de données vous permettra de trouver des articles scientifiques et des publications.

CNRS (Centre national de la recherche scientifique) : le CNRS abrite de nombreux laboratoires travaillant sur les neurosciences, la psychologie et les sciences sociales, domaines étroitement liés à la gestion du stress.

Universités : les universités françaises comme l'Université de Paris, l'Université de Lyon ou l'Université de Bordeaux possèdent des laboratoires de psychologie et des neurosciences qui publient régulièrement des travaux sur le stress.

Sources Belgique :

FNRS (Fonds national de la recherche scientifique) : le FNRS finance de nombreux projets de recherche en Belgique. Leur base de données vous permettra de trouver des publications scientifiques.

KU Leuven : l'Université catholique de Louvain est une université de renommée internationale avec de nombreux chercheurs travaillant sur le stress et la santé mentale.

Université de Liège : l'Université de Liège possède également des laboratoires de recherche en psychologie et en neurosciences qui étudient le stress.

Revues scientifiques

Psychologie Française : une revue scientifique de référence en psychologie en France.

Neuropsychopharmacologie : cette revue aborde les aspects biologiques et pharmacologiques du stress.

Stress : une revue internationale consacrée à l'étude du stress.

Bases de données scientifiques qui peuvent répondre à tes interrogations sur ce sujet

PubMed : une base de données bibliographique internationale sur les sciences de la vie.

Google Scholar : un moteur de recherche spécialisé dans la recherche scientifique.

DIY en 5 étapes : pour une voiture étincelante

Vous en avez assez des produits chimiques et de leurs odeurs ?

Comment néttoyer sa voiture avec des produits naturels en 5 étapes.

Réduisez votre impact sur l'environnement tout en prenant soin de votre voiture et optez pour un nettoyage automobile naturel avec des ingrédients simples et efficace déjà présents dans votre placard !

Savon de Marseille, vinaigre blanc, huile de coco... sont vos nouveaux meilleurs amis pour une voiture propre et qui sent bon.

Zéro déchet, max brillance : nettoyage auto naturel

Autant d'ingrédients que vous pouvez utiliser pour garder votre voiture étincelante de propreté tout en protégeant l'environnement. Voici quelques recettes peu coûteuses, avec quelques ingrédients simples et efficaces, et pour la plupart totalement naturels et qui vous permettront de nettoyer votre voiture en profondeur sans utiliser de produits chimiques agressifs.

Prêt à tenter l’expérience et à nettoyer votre voiture avec des produits naturels et à relever le défi ?

Ce qu’il vous faut est déjà probablement dans vos placards :

• Une grosse éponge ou un gant en microfibre
• Deux sceaux et de l’eau
• Des chiffons doux ou une peau de chamois synthétique
• Une vieille brosse à dents ou une brosse en mousse et coton tige : pour les jantes et les surfaces difficiles d’accès
• Savon de Marseille en paillettes ou du savon noir : Idéal pour nettoyer la carrosserie, les plastiques et les textiles. Diluez-le dans de l'eau chaude pour obtenir une solution nettoyante efficace.
• Vinaigre blanc : Dégraisse, désinfecte et élimine les traces. Diluez-le avec de l'eau pour nettoyer les vitres, les chromes et les plastiques mais on oublie le vinaigre blanc pour l’aluminium
• Huile de coco ou un mélange huile de vaseline et d’alcool à brûler : Nourrit et protège les cuirs, leur redonne de la brillance. Appliquez-la sur un chiffon doux et massez délicatement. Et on oublie les huiles pour le caoutchouc car cela attaque la gomme alors on nettoie avec du savon et on sèche bien.
• Mousse à raser ou dentifrice ou bien un mélange de vinaigre blanc et d’eau tiède: Pour un nettoyage en profondeur les vitres, les phares, la mousse à raser, le dentifrice ou le vinaigre blanc additionné d’eau permet d'éliminer les saletés tenaces.
• Bicarbonate de sodium pour les taches sur les tissus : cela absorbe les taches

Les règles d’or :

Évitez de laver la voiture en plein soleil, surtout en été. La chaleur fait sécher l'eau trop rapidement et laisse des taches de calcaire et des traces de poussière sur la carrosserie. Il en va de même par temps froid, où l'eau peut geler et endommager la peinture.

Ne pas utiliser d’éponge abrasive, même pour les jantes : utiliser une brosse douce à poil long à la rigueur si les jantes sont vraiment encrassées, mais une éponge bien gonflées du mélange d’eau et de savon devrait amplement suffire.

Astuce : Utilisez deux seaux !

L’un pour rincer votre éponge et l’autre pour le mélange d’eau et de savon, cela vous fera gagner du temps plutôt que d’aller régulièrement au point d’eau pour renouveler l’eau d’un seul sceau.

1-Le décrassage extérieur :

Pour enlever la saleté en surface, mouillez d'abord la voiture avec un jet d'eau du bas de la voiture vers le haut afin d’éviter que le liquide sale ne coule sur les zones qui viennent d'être lavées.

Si la voiture est très sale, utilisez de l'eau tiède pour décoller la poussière avec une grosse éponge avant de passer le jet.

Préparez une éponge de voiture et du savon noir dilué (1 bouchon par litre d'eau) ou du savon de Marseille dilué (20 g de paillettes de savon de Marseille pour 5 litres d'eau). Et le second seau avec de l’eau tiède.

Avec un simple vaporisateur, pulvérisez le savon mélangé à l’eau abondamment sur les jantes et les vitres extérieures et pendant que le savon agit, occupez-vous du toit, des seuils de porte et des pare-chocs puis revenez sur les jantes et les vitres avec votre éponge bien imbibée du mélange de savon et d’eau.

Commencez par frotter les zones les plus sales et travaillez toujours de haut en bas.

Surtout, frottez doucement en imbibant bien la saleté et rincez bien l’éponge entre chaque passage car la saleté et la poussière sur les roues peuvent rayer la carrosserie.

Répétez l'opération si nécessaire et rincez ensuite de nouveau de haut en bas et terminez-en aspergeant la carrosserie avec le jet d’eau.

• Les phares :

Il n'y a rien de plus efficace que d'utiliser des produits ménagers tels que le dentifrice ou la mousse à raser pour nettoyer les taches sur les phares.

Appliquez la pâte sur un chiffon en microfibres ou un torchon et frottez en effectuant des mouvements circulaires jusqu'à ce que la tache disparaisse. Une fois l'opération terminée, rincez et séchez en tapotant avec un chiffon.

2- Le séchage :

Ne laissez pas sécher la carrosserie du véhicule toute seule car le calcaire contenu dans l'eau peut laisser des traces.

Pour sécher la voiture n'utilisez pas de chiffons ordinaires, je sais c’est tentant d’utiliser de vieux torchons et la faire brille, mais c’est pas efficace.

Utilisez un chiffon absorbant comme une fausse peau de chamois en synthétique qui absorbe l’eau mieux qu’une vraie et en plus c’est moins cher à l’achat et cela dure plus longtemps.

Astuce : humidifier le chiffon avant de l'utiliser.

En suivant ces conseils, votre voiture sera séchée efficacement et en toute sécurité sans risque de rayer la carrosserie.

3- Décrassage intérieur :

On vide les cendriers pour les fumeurs et on les lave à l’eau et au savon, une fois les cendriers bien secs, on met un peu de bicarbonate au fond, c’est une astuce pour enlever les mauvaises odeurs ; on laisse poser et on aspire de nouveau.

Et on sort les tapis qu’on aspire à l’extérieur, s’il y a des taches, saupoudrer avec du bicarbonate, frotter légèrement, laisser poser une demi-heure et aspirer de nouveau.

On aspire l’intérieur de la voiture avant de nettoyer les plastiques, les sièges et le sol.

Tableau de bord et surface en plastique :

La méthode la plus simple consiste à enlever la poussière à l'aide d'un chiffon en microfibre humide. Pour les petites surfaces, on peut utiliser une brosse à dents, une brosse en mousse ou un coton-tige.

Du savon noir ou du savon de Marseille dilué dans de l'eau tiède peut être appliqué sur le chiffon. Rincer avec un chiffon humide et sécher avec un chiffon propre.

Pour donner de la brillance, vous pouvez utiliser de l'huile d'olive, de la vaseline ou d'autres huiles ou graisses sur un chiffon propre et sec.

Attention à veillez toutefois à ne pas en mettre sur le volant ou le levier de vitesse. Les surfaces glissantes peuvent être dangereuses.

• Les plastiques intérieurs :

Avec une éponge humide pour décrasser puis un mélange de vinaigre blanc et d’eau tiède pulvérisé, on essuie bien et le tour est joué !

• Nettoyer le cuir :

Avec une éponge humide et de l’eau claire tiède, puis on applique une noisette d’huile de coco avec un chiffon doux, on laisse sécher une bonne demi-heure et on lustre avec un chiffon propre et vos cuirs intérieurs sont comme neufs !

On peut également utiliser d’autres huiles comme l’huile d’olives, d’argan, ou de germe de blé mais l’huile de coco reste la moins onéreuse et à une odeur super discrète.

• Les tissus :

Il existe de nombreuses solutions naturelles et économiques pour éliminer les taches indésirables sur les siège.

Pour les assises en tissu, vous pouvez opter pour l'alcool à brûler ou du vinaigre additionné d’eau tiède, qui élimine efficacement les taches de nourriture, de rouge à lèvres, de stylo et de chewing-gum. Après avoir frotté, n'oubliez pas de bien rincer à l'eau pour que le vinaigre sèche et ne laisse pas de traces.

Le bicarbonate de soude et le vinaigre blanc constituent également un remède spécial pour redonner un aspect sain aux sièges en tissu. Formez une pâte en mélangeant du bicarbonate et de l’eau (un peu) que vous appliquez sur la tâche et que vous frottez à l'aide d'une vieille brosse à dents par exemple. Lorsqu'elle se transforme en poudre, aspirez-la.

4 - Comment éviter la buée sur les vitres intérieures : deux astuces

Mousse à raser :

Appliquez une fine couche de mousse à raser (fine et peu c’est le secret) sur l'intérieur du pare-brise et essuyez avec un chiffon propre. Les vitres devraient être exemptes de buée pendant plusieurs semaines.

Vinaigre blanc :

Voici le bon dosage pour une solution efficace : une tasse de vinaigre pour deux tasses d’eau dans un pulvérisateur, on pulvérise et on essuie bien

5- Faire briller la carrosserie :

Un mélange de vaseline et d'alcool à brûler est très efficace pour faire briller la carrosserie. Imbibez un chiffon de 9/10 d'huile de vaseline et de 1/10 d'alcool à brûler et frottez doucement la voiture ou utilisez de l’huile de coco toujours en petite quantité à tester bien évidement sur une petite partie avant si vous êtes craintif.

Et c'est tout !

Vous avez maintenant toutes les astuces naturelles pour entretenir votre voiture simplement !

Allez, à vos chiffons !